Tous les fumeurs redoutent la période de sevrage.

Personnellement, juste avant mon arrêt, j’avais entendu tellement d’histoires sur le fait que j’allais vivre l’enfer pendant 2, 3, 4 semaines…

Mais grâce au livre d’Allen Carr, j’ai radicalement changé d’état d’esprit une heure avant de fumer ma dernière cigarette. Ce déclic est arrivé à pic, car j’allais commencer ma nouvelle vie de non-fumeur de la mauvaise manière : en essayant de ne plus penser à la clope.

Voilà ce que j’ai fait à la place :

Ressentir pleinement les périodes de manque

Pourquoi, quand on essaye d’arrêter de fumer, passe-t-on son temps à tenter de ne « pas penser à la cigarette » ?

J’ai pris le contre-pied de cette idée.

Dès les premières heures suivant mon arrêt, dès que l’idée de fumer me venait à l’esprit, je me concentrais sur mes sensations.

Pendant un court instant, je regardais le petit monstre « Nicotinator » droit dans les yeux. Il était en train d’agoniser et cela me faisait sourire.

À la fin, je prenais même plaisir à vivre ces moments de manque. Cette drogue était en train de quitter mon corps et ses tentatives de manipulation n’avaient aucun effet sur moi, sauf me provoquer de la joie.

J’étais enfin libre.

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